La guerre en Ukraine a accentué deux des principaux risques pour 2022 : la hausse des prix de l’énergie et le durcissement des politiques monétaires des banques centrales.
Les banques centrales se sont vues attribuer une « mission impossible » : faire baisser les taux d’inflation très élevés, sans provoquer de crise.
Nos prévisions de croissance étant inférieures au consensus, nous nous attendons à ce que les banques centrales sous-évaluent légèrement les prix fixés par le marché.
Nous recommandons de réduire la cyclicité des portefeuilles et de se montrer très prudent dans la sélection des actifs risqués. Compte tenu des niveaux de valorisation, il n’y a pas de précipation à acheter le rebond selon nous. (…)
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