2022 est difficile pour les marchés : volatilité des taux, pertes sur les obligations d'État et High Yield. Et puis ? Ariel Bezalel et Harry Richards partagent leurs points de vue.
La guerre en Ukraine est compliquée à observer pour tout le monde et nous ne pouvons qu'espérer une résolution rapide.
Bien avant l'escalade de la crise, nous soutenions qu'un ralentissement naturel des dépenses de biens durables, une diminution du soutien budgétaire et monétaire et un pouvoir d'achat réduit compte tenu de la forte inflation étaient autant de facteurs poussant vers un éventuel ralentissement macroéconomique, ce qui conduirait probablement à un pivot accommodant de la part des banques centrales. (…)