La hausse des actions n’est pas finie, il faut rester investi
Nous vivons une époque inimaginable il y a seulement quinze ans. Les taux d’intérêt sont à zéro. Les États trouvent un financement illimité à taux négatif auprès des institutions et surtout des banques centrales dans un contexte de flambée de la dette et des déficits. La croissance des pays développés est amorphe par déficit d’investissement et de vigueur démographique. À chaque crise les États recourent certes à des soutiens conjoncturels de plus en plus forts mais à des aménagements structurels modestes.
Et pourtant ! La bourse est au plus haut, l’immobilier galope, la recherche d’actifs fructifères va crescendo, les valeurs de croissance progressent encore plus vite. Quelques grands observateurs au sang froid et à l’horizon de long terme font remarquer que cela n’est pas tenable et que les valorisations sont devenues excessives.
Nous allons donc essayer de poser quelques repères :