Il faut bien admettre qu’après l’euphorie de fin d’année, qui avait déjà succédé à l’état fébrile de novembre, 2022 démarre sur une ambiance bien plombée. La raison première en est la communication de la banque centrale américaine avec la hausse des taux à 10 ans du trésor américain. Les menaces russes d’une invasion imminente de l’Ukraine ajoutent des acouphènes sur un marché déjà migraineux. (…)