Le mois de mars a cumulé la concrétisation de tous les risques dont nous parlions dans notre lettre de fin d’année : le risque géopolitique avec la guerre en Ukraine, la politique 0-Covid de la Chine frappée de plein fouet par Omicron, le retournement de la Banque centrale américaine, qui confine à la panique, devant une « inflation » qui n’a toujours pas trouvé sa limite. Les guillemets sont volontaires, nous nous en expliquerons. (…)
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