À 15 ans, ce sont les actions, en particulier les “green”, qui devancent les autres actifs avec des TRI supérieurs à 9%. L’immobilier direct n’est pas en reste, que ce soit pour les commerces, les SCPI ou l’industriel, tous autour de 6%.
Plus le temps passe, plus le logement et les foncières prennent l’avantage, avec des TRI respectifs de 9,3% et 8,2% sur 30 ans, contre 7,7% pour les actions. Pour les foncières, l’introduction des SIIC (Société d’Investissement Immobilier Cotée) en 2003 a permis une diversification gagnante.
Sur l’ensemble de la période de 40 ans, ce sont logiquement les actions qui percent la bulle avec un TRI de 12,4%, loin devant l’immobilier coté à 9,2% et le logement parisien à 10,4%.