L’année s’achève, et nous vous avions laissé le mois dernier sur une forme d’affolement des marchés (passager) autour de l’idée que l’inflation était peut-être là pour rester. En décembre, c’est à nouveau la pandémie qui a repris le haut de manchettes, avec le variant omicron dans tous les esprits. On parle, ici, en France, non plus de vague, mais de tsunami. Et pourtant, les mêmes causes ne conduisent pas toujours aux mêmes effets : la pandémie, qui a créé le crash de mars 2020, et provoqué des accès de faiblesse des marchés à chaque nouvelle vague, n’est pas venue troubler le rallye de fin d’année, avec des marchés qui finissent au plus haut. (…)
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