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Nue-Propriété

"Nous lançons une nouvelle offre de nue-propriété avec un droit de séjour pour l’acquéreur" Alban Gautier (Fidexi)

18
Mar
2024
Fidexi, spécialiste de la nue-propriété nous présente une nouvelle offre en nue-propriété. La nouveauté de cette offre réside dans un droit de séjour d’1 à 3 semaines pour l’acquéreur sur les 12 ans du placement. Cette offre concerne des résidences situées à la montagne, dans des villes confrontées à l’absence de résident à l’année. Alban Gautier, Directeur Général Délégué de Fidexi nous en dit plus.

Fanny Berthon : Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue sur Club Patrimoine. Aujourd'hui, nous recevons Fidexi et son Directeur Général Délégué, Alban Gautier.
Bonjour Alban.

Alban Gautier : Bonjour Fanny.

FB : Merci d'être de nouveau avec nous dans ce studio. Nous allons parler d'un nouveau produit, très innovant, en nue-propriété toujours, de démembrement sur lequel vous mettez une possibilité d'occupation. Produit très innovant que je vais vous laisser nous présenter.

AG : Je suis très fier de présenter cette offre. C'est plus de 2 ans de travail des équipes de Fidexi. Un produit innovant parce que c'est un produit de démembrement de propriété classique mais sur une durée de démembrement plus courte avec une forte décote et tout en ayant la possibilité d'occuper le bien. Ce qui est totalement inédit dans ce segment de démembrement de propriété.

FB : Quels sont les avantages à investir dans ce nouveau produit ?

AG : L'avantage, c'est une durée de démembrement raccourcie. C'est optimisé à 12 ans avec une très forte décote possible par un jeu de transfert de TVA qui serait trop long à expliquer dans cette vidéo, mais qui vous permet d'avoir une visibilité sur votre effort d'épargne pendant toute la durée du démembrement. Vous n'avez plus aucune contrainte de gestion. Comme un produit de démembrement classique, vous avez une capitalisation mécanique très peu fiscalisée, pas d'IFI, pas de taxes foncières. Tout est transféré à l'usufruitier. Au-delà de la partie investissement, vous avez la partie "profiter de son bien" et donc vous avez la possibilité d'occupation avec une formule qui vous permet d'occuper le bien une semaine, deux semaines ou trois semaines par an en fonction des saisons : basse, moyenne ou haute saison.

FB : Pour mieux comprendre ce système d'occupation, comment se déroule ce droit de séjour ?

AG : Au moment de l'acquisition de la nue-propriété, chez le notaire, vous pouvez vous réserver un droit de séjour pour les 12 prochaines années à un prix fixe. Vous choisissez par exemple pour 2 % du prix de la pleine propriété, un droit de séjour d'une semaine par an en basse saison, 4 % pour de la moyenne saison et 8 % pour une semaine d'occupation en pleine saison, les six semaines, deux semaines à Noël et quatre semaines de vacances d'été. Quand vous avez des enfants, sur 12 ans, ça peut être très sympathique d'avoir la visibilité sur votre occupation à la montagne.

FB : Comment cela se passe-t-il à la sortie ?

AG : C'est quelque chose d'assez classique. Du jour au lendemain vous vous réveillez, vous êtes plein propriétaire, vous avez la possibilité soit de vendre votre bien de manière classique, soit de le louer via un mandat de gestion, via vous-même ou via l'exploitant toujours sur place, soit l'occuper mais il faudra faire notamment attention aux lois Montagne qui protègent une occupation maximale à la montagne, c'est-à-dire que l'enjeu pour les élus c'est d'avoir ce qu'on appelle des lits chauds et pas des lits froids, c'est-à-dire des logements occupés que deux ou trois semaines par an. Donc il faut les mettre en location pour qu'il y ait une occupation minimale pendant toute la durée de vie et que les stations vivent, que cette économie vive.

FB : Pourquoi avoir choisi cette économie de la montagne ? Quels sont les avantages de ce secteur ?

AG : Cela correspond aux enjeux post-Covid, de la volonté de respirer, d'avoir le grand air. Ce n'est plus une activité seulement hivernale, c'est une activité 4 saisons tournée autour de notamment l'écotourisme. Il faut rappeler que c'est 10 millions de skieurs par an, c'est plus de 10 Mds€ de chiffre d'affaires, mais nous n'allons plus à la montagne que l'hiver, mais aussi pour randonner l'été et en saison intermédiaire pour profiter, respirer.


FB : La montagne est une économie interrogée sur son côté écologique, que pouvez-vous répondre à cela ?

AG : Vos questions sont courantes et pertinentes, mais nous avons évidemment regardé le sujet de très près. J'ai une question à vous poser. À votre avis, quel est le principal émetteur de CO2 dans l'industrie de la montagne ?

FB : Je ne saurais vous dire.

AG : Contrairement à ce qu'on peut penser, ce sont les dameuses qui émettent 87 % des CO2 et la Compagnie des Alpes, une des compagnies principales d'exploitation à la montagne, vise le zéro carbone en 2030 grâce à l'insertion dans ses réservoirs de carburant issu de déchets verts par exemple. Donc il y a en fait de belles perspectives. C'est une économie très écoresponsable qui se verdit de plus en plus.

FB : Où cette offre se trouve-t-elle ?

AG : C'est un catalogue évolutif et très large. Nous avons un partenariat avec un exploitant qui est l'un des piliers à la montagne qui nous propose d'intervenir sur tout son catalogue. Il sera lui-même usufruitier du bien en tant qu'exploitant et donc nous avons une dizaine de stations aujourd'hui prévues à l'hiver 2024 et c'est une offre qui va évoluer continuellement avec des rajouts et des suppressions en fonction d'une année commerciale qui démarre plutôt très fort.

FB : Merci de nous avoir expliqué ce tout nouveau produit, cette nouvelle offre. Nous en reparlerons, j'espère. Nous verrons un peu les résultats. Merci Alban.

AG : Avec grand plaisir, merci Fanny.

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