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Actualités du patrimoine

"Préserver l’ADN de nos associés, l’intérêt du client et l’ancrage régional" Vincent Couroyer et Arnaud Bayzelon (Metagram)

8
Jan
2024
Vincent Couroyer et Arnaud Bayzelon reviennent sur le lancement de Metagram. Quelles sont les ambitions, et solutions proposées par ce nouvel acteur de la gestion de patrimoine ?

Fanny Berthon : Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue sur Club Patrimoine pour une nouvelle interview avec deux invités. Nous allons nous intéresser à Metagram. Vincent Couroyer, Président de Metagram est avec nous. Bonjour Vincent.

Vincent Couroyer : Bonjour.

FB : À vos côtés Arnaud Bayzelon, Directeur Général de Metagram. Bonjour.

Arnaud Bayzelon : Bonjour Fanny

FB : Nous vous avions laissés l'année dernière en nous parlant de Magnacarta. Nous vous retrouvons maintenant chez Metagram. La première question : Pourquoi Metagram ? Qu'est-ce que c'est ? Vincent pour commencer.

VC : Metagram est né de notre volonté de nous rapprocher du métier de CGP parce que nous avons une conviction forte, nous en avons quelques-unes et celle-là nous est ancrée, c'est que le monde des CGP et des Family Offices a la plus grande réserve de développement, de croissance sur le marché de l'épargne patrimoniale. Metagram, c'est une association entre professionnels du métier dans l'objectif d'accompagner ce développement.

FB : Quelles sont les convictions qui vous animent ?

AB : Nous avons une certitude et trois convictions. Ayant accompagné une centaine de CGP maintenant depuis 20 ans, avec Vincent, nous avons la certitude qu'il n'y a pas qu'une seule façon de réussir et qu'il n'y a pas qu'un seul modèle de réussite. Néanmoins, Metagram est guidé par trois convictions.
Au premier rang duquel, nous devons préserver l'intérêt du client. En aucun cas, la solution conseil, la solution produit ne doivent être dévoyées pour des raisons budgétaires ou économiques. Nous avons aussi acquis la conviction que nous avons un métier de régionalisme où l'ancrage régional est important pour garder cette proximité avec nos clients, avec nos prescripteurs. Et enfin, respecter bien sûr l'ADN de nos associés puisque si nous nous associons avec eux, si nous considérons que ce sont des gens de qualité et en réussite, appuyons-nous sur ce qui a fait leur réussite pour accélérer le développement et la croissance du groupe.

FB : Vous dites qu'il n'y a pas un seul modèle. Il y a beaucoup de choses à proposer. En quoi votre modèle, en quoi Metagram est-il différenciant ?

VC : L'idée de Metagram n'est pas de refaire ce que certains de nos confrères font très bien depuis très longtemps, mais c'est de proposer une offre de valeur différente, issue de nos expériences. Nous avons souhaité décliner le modèle économique et le modèle juridique selon ces convictions,
c'est-à-dire que nous associons au niveau de pôles régionaux avec ces professionnels reconnus qui souhaitent intégrer le projet Metagram pour continuer leur développement. Ils réinvestissent de manière très significative même si nous restons dans un modèle majoritaire pour Metagram parce que c'est comme ça qu'ils vont capter la plus grande part de la création de valeur. Nous adoptons une politique plutôt raisonnable en termes de levier. Il faut répondre à cet ADN,cette conviction que nous avons, à aucun moment un élément comme la dette doit devoir guider notre politique. Tout est basé sur la croissance organique, c'est-à-dire que c'est le véritable moteur de création de valeur qui viendra être accéléré effectivement par quelques croissances externes mais que nous choisirons dans le respect de Metagram. Et s'il y a une mission sur laquelle nous sommes légitimes, c'est les synergies puisque ça a été longtemps notre métier et nous avons décidé de procéder à l'envers, c'est-à-dire déterminer avec nos associés quelles sont les synergies indispensables, prioritaires, de s'appuyer sur les talents rencontrés dans les cabinets avec qui nous nous associons et après nous ferons notre métier de combler les trous dans la raquette.

AB : Rejoindre Metagram pour nos associés, c'est passer de l'indépendance à l'autonomie.

FB : Quelles sont vos grandes ambitions dans le futur ?

AB : Nous avons l'ambition de créer un CGP d'envergure nationale. Nous avons déjà créé deux pôles régionaux, un dans le sud-ouest, un en Île-de-France qui représentent autour de 500 000 € d'encours. Nous sommes en création de deux nouveaux pôles régionaux, avec comme ambition d'atteindre le milliard d'euros d'encours au premier semestre 2024.

FB : De belles ambitions que nous suivrons. Merci d'être venus messieurs.

AB et VC : Merci Fanny.

FB : Et merci à vous de nous avoir suivis. Rendez-vous très vite pour de nouvelles vidéos toujours sur Club Patrimoine.

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