Retour sur le Concours Jeunes Talents de la CNCGP

À l’occasion du concours organisé par la CNCGP, les lauréats reviennent sur leur participation, leur motivation et l’importance de la thématique abordée : L’Intelligence Artificielle remplacera-t-elle les CGP à horizon 2030 ?

Les impressions des lauréats au concours Jeunes Talents de la CNCGP

Gor Gasparyan : Très content d'avoir eu le 2e prix, je remercie tout particulièrement notre coach, monsieur Delos de Plaisance, qui nous soutient depuis l'île de la Réunion. C'était une très belle opportunité dans le cadre de mes études en Master 2 à l'UP Finance de Nancy, en négociation et ingénierie patrimoniale. C'est un sujet qui nous parlait parce que c'est un sujet d'actualité qui bouleverse le monde professionnel.

Solène Chapuis : Très fière d'être ici aujourd'hui, très contente d'avoir participé à ce concours. J'ai voulu y participer parce que c'est un concours qui est prestigieux, organisé par la CNCGP. Et le thème m'a beaucoup intéressée parce que l'IA, c'est un sujet au cœur du métier de conseillère en gestion de patrimoine.

Folayan Thomias : C'était un petit challenge qu'on s'était fixé avec Solène. On a voulu participer, montrer ce dont on était capable et puis aussi réfléchir sur un sujet qui est d'actualité pour la gestion de patrimoine. C'est pour ces raisons-là qu'on a participé. Évidemment, on est content d'être là aujourd'hui. On est content d'avoir décroché cette médaille de bronze. C'est une thématique qui est très actuelle, dont on entend beaucoup parler, même au niveau international, entre les Etats-Unis, la Chine. Quelle place l'Europe aussi va avoir dans cette thématique ? Et puis, par rapport à notre métier, comment, nous, on va l'implémenter ? C'est vraiment une question du quotidien.

Pauline Roche :  Oui, ce thème a beaucoup parlé parce que c'est un thème d'actualité qui touche tous les domaines et qui a vocation à devenir de plus en plus important dans notre vie quotidienne et professionnelle. C'était un sujet très parlant et on a voulu un petit peu, avec mon équipe, essayer de démontrer que même si effectivement ça prend de plus en plus de place et ça va nous servir de partout professionnellement et quotidiennement, on a voulu démontrer que l'homme quand même restait essentiel et qu'on ne pourrait pas le remplacer comme ça par des machines ou une intelligence artificielle.

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