Debrief Club Patrimoine : conférence de lancement d'UPÊKA, la première SCPI d'Axipit Real Estate Partners

Club Patrimoine était ce mercredi chez Axipit Real Estate Partners pour le lancement d’UPÊKA, leur première SCPI.

La conférence s'est articulée autour de Jean-François Charrier, Directeur du Développement d’Axipit REP, accompagné de Jean-Marc Sabiani et Gilles Barbieri, associés fondateurs, et Olivier Levesque, associé et Responsable des acquisitions.

Avec UPÊKA, Axipit REP, créé en 2021, ambitionne de démocratiser l’investissement immobilier. Sa gestion dynamique vise à limiter le risque pour l’investisseur, pour optimiser le couple rendement/risque. La SCPI investit, selon les opportunités, en France et dans la zone euro, sur tout type d’actifs, des bureaux à la logistique, en passant par les logements et les résidences de santé. Le produit est sans frais d’entrée, accessible dès 200 euros, et vide un taux de distribution cible de 5,5 %.

Axipit REP a choisi de distribuer UPÊKA via les réseaux de CGP, à destination des particuliers. L’objectif est d’atteindre 100 millions d’euros de capitalisation dans les 18 mois.

Parmi les exemples d’investissements donnés : un immeuble de bureaux en Irlande dont le rendement s’élève à 7,41 %, une salle de fitness en Espagne qui affiche du 7 %, ou encore un ensemble de commerces de proximité de pied d’immeuble en région parisienne avec un taux de 7,75 %.

Chez Axipit et Aquila, on estime que le contexte actuel de correction du marché est favorable à ce type de SCPI récente, qui constitue son portefeuille à des prix plus bas, ce qui améliore sa performance.

Concernant l’état du marché, les intervenants indiquent que l’Allemagne n’a pas encore fini de corriger, tout comme le Royaume-Uni. Alors qu’en Irlande et en Espagne, l’ajustement des prix a été plus rapide et est achevé. La France, quant à elle, est dans un entre-deux.

Ils soulignent que le marché français baisse de façon générale, y compris à Paris. Un marché qui connaît une forme de bascule selon eux depuis la fin de l’été, avec l’apparition de ventes forcées de la part d’acteurs ayant des difficultés de refinancement auprès de leurs banques.