Quand l’économie du bien-être redéfinit l’économie de la santé (Euryale)

La frontière entre santé et bien-être n’a jamais été aussi poreuse. Depuis 1946, l’Organisation Mondiale de la Santé pose les bases d’une vision élargie de la santé : « un état de complet bien-être physique, mental et social », bien au-delà de la seule absence de maladie. Cette conception s’impose aujourd’hui aussi sur le terrain économique, où l’essor massif du bien-être transforme les usages… et les infrastructures.
Un secteur en plein essor, aux intersections de la santé
Porté par des attentes sociétales fortes, le marché mondial du bien-être atteint désormais 6 800 milliards de dollars, en croissance de +35% depuis 2019 (source : Global Wellness Economy Monitor, 2025).
Un développement qui repose en grande partie sur une dimension immobilière structurante :
spas & thermes,
centres de thalassothérapie,
hôtellerie orientée bien-être, etc.
Fait marquant : 60% des dépenses de santé des consommateurs relèvent déjà du bien-être (source : Global Wellness Economy Monitor, 2025). Une illustration claire du glissement progressif vers une santé « augmentée », centrée sur la prévention.
Prévention : un réflexe devenu stratégique
Face à un système de santé sous tension, les individus activent davantage les leviers dont ils disposent : sport, nutrition, pratiques méditatives, …
Les évolutions technologiques accélèrent ce mouvement :
explosion des portables qui crée un besoin de déconnexion,
arrivée des GLP-1 utilisés dans la prévention active de l’obésité,
multiplication des objets connectés dédiés au suivi individuel.
Les vacances deviennent même, pour beaucoup, une forme de médecine préventive : le voyage n’est plus seulement une distraction, mais un traitement.
Un secteur désormais concurrentiel
Cette dynamique attire de nouveaux acteurs et intensifie la concurrence.
Les débats parlementaires autour du remboursement des cures thermales l’ont récemment rappelé : les offres privées se développent, et les stations thermales voient émerger une nouvelle concurrence : des concepts hôteliers exclusivement axés bien-être.
Dans ce paysage en transformation, l’immobilier joue un rôle central, entre infrastructures médicales, lieux de ressourcement et services hybrides.
A retenir
La santé ne se limite plus aux soins médicaux. Elle s’étend à une industrie du bien-être en pleine structuration, portée par de nouveaux usages et par une demande croissante de prévention.
Une évolution qui ouvre de nouveaux champs d’investissement – et interroge les futurs modèles de santé et de mieux-vivre.
AVERTISSEMENT
Investir en SCPI comporte un risque de perte en capital. Il s’agit d’un investissement de long terme pour lequel la liquidité peut être limitée, la sortie n’étant possible que s’il existe une contrepartie à l’achat. Les revenus ne sont pas garantis et dépendront de l’évolution du marché immobilier et du cours des devises.
La SCPI Pierval Santé est soumise à d’autres risques tels que notamment le risque de change, de durabilité et le risque lié à une gestion discrétionnaire.
La SCPI Euryale Horizons Santé est soumise à d’autres risques tels que notamment le risque de change, avec une exposition théorique maximale au risque de change de 50 %, le risque de durabilité et le risque lié à une gestion discrétionnaire.
Ceci est une communication publicitaire. Pour prendre connaissance des risques veuillez consulter le DIC et la note d'information de chaque SCPI disponibles sur le site Internet d'Euryale, avant de prendre toute décision d’investissement.
Chaque jour, nous sélectionnons pour vous, professionnels de la gestion d'actifs, une actualité chiffrée précieuse à vos analyses de marchés. Statistiques, études, infographies dans divers domaines : épargne, immobilier, économie, finances, etc. Ne manquez pas l'info visuelle quotidienne !
Ne loupez aucun événement de nos partenaires : webinars, roadshow, formations, etc. en vous inscrivant en ligne.

.webp)



































