Pourquoi faut-il investir dans l’art blue chip ? (Matis)

Depuis plus de deux décennies, les œuvres d’artistes majeurs comme Warhol, Basquiat ou Haring attirent l’attention des investisseurs. Ces artistes dits “blue chip”(1) occupent une place singulière dans le monde de l’art contemporain. Pour beaucoup, ils sont même devenus une classe d’actifs à considérer dans une stratégie de diversification patrimoniale. Mais alors pourquoi investir dans l’art ? Et pourquoi particulièrement dans les œuvres “blue chip” ?
L’art “blue chip”, définition d’un actif tangible
L’art “blue chip” désigne l’ensemble des œuvres créées par des artistes qui ont profondément marqué l’histoire de l’art. Ces artistes bénéficient aujourd’hui d'une reconnaissance mondiale du marché, mais aussi des institutions (présence en musées, en collections privées, en galeries prestigieuses, records aux enchères...). Parmi les grands noms d’artistes “blue chip”, on peut nommer Soulages, Picasso, Hockney ou encore Warhol.
La société Matis, agréée par l’AMF, s’est justement spécialisée dans ce type d’investissement. Sous le format de club deals, elle permet de co-investir dans cette catégorie d'œuvres, en les ciblant pour leur bonne tenue dans le temps. Tandis que leur demande augmente, le nombre d'œuvres disponibles sur le marché s’amenuise. Conséquence ? Cela crée un effet de rareté.
La stratégie de Matis repose également sur la connaissance fine de ce marché très concentré. En effet, ces œuvres “blue chip” représentent plus de 60% de la valeur totale des ventes aux enchères, pour seulement 1% des œuvres échangées5).
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Une dynamique de marché soutenue
Le marché de l’art “blue chip” a également montré une trajectoire d’appréciation distincte des marchés financiers. Selon l’indice Artprice100 ©, qui regroupe les 100 artistes les plus performants en ventes aux enchères, ce type d’art a connu une progression globale de +609 % entre 2000 et 2023, contre +160 % pour le S&P 500 sur la même période(2). Cette trajectoire illustre le potentiel d’appréciation du capital — non garanti — suscitant un intérêt croissant de la part des investisseurs.
Avertissement : les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

En 2023, le volume global des transactions sur le marché de l’art a même atteint 65 milliards de dollars, et plus de 85 % des œuvres détenues par les marchands ont été revendues en moins de deux ans. Un niveau de rotation qui témoigne encore une fois du dynamisme de ce marché secondaire
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Une figure centrale de l’art “blue chip” : Andy Warhol
En matière d’investissement, l’artiste américain Andy Warhol illustre bien le marché “blue chip”. En 2024, son marché a généré à lui-seul un chiffre d’affaires de 134,9 millions d’euros, avec plus de 1 700 lots vendus, dont 66,5 % de peintures. Ce volume positionne Warhol dans le top 10 mondial depuis plus de vingt ans. La répartition des ventes en 2024 montre également une prédominance des pièces à très forte valeur : plus de 58 % de la valeur des ventes concernait des œuvres adjugées à plus d’un million d’euros.
La cession récente d’une œuvre d’A.Warhol par Matis a fait état d’une performance nette investisseur de 33,41 %(3)), pour une durée de détention de 4 mois et 12 jours et pour un taux de rentabilité interne annualisé net de frais à 119,3 % (4).
Avertissement : Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

Pour résumer, si l’art “blue chip” peut être perçu comme une valeur refuge potentielle, il est essentiel de rappeler que cet art demeure un actif peu liquide et soumis à aux aléas de son marché. Il est donc préférable de l’envisager comme un actif de diversification patrimoniale car la performance potentielle — non garantie — repose uniquement sur la revente. Et celle-ci, là encore, n’est ni garantie ni prédictible.
Vous êtes intéressé pour investir dans l’art ? Rendez-vous directement sur le site de Matis.club ou contactez Matis à l’adresse : invest@matis.club.
Par Matis
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(1) — L’art blue chip fait référence à des œuvres d’art de grande valeur réalisées par des artistes majeurs, qui ont profondément marqué l’histoire de l’art, reconnus par les institutions muséales, les galeries internationales, et les collectionneurs. Ces œuvres se vendent au prix le plus élevé dans les maisons de ventes aux enchères, à partir de plusieurs centaines de milliers de dollars.
(2) — L’indice Artprice 100 qui suit les 100 artistes les plus valorisés en vente aux enchères VS le S&P 500.
(3) — Données actualisées au 22 juillet 2025. Performance nette moyenne : montant reversé à l'investisseur, net de tout frais et brut de fiscalité, qui correspond à la différence entre le prix de cession de l'œuvre et son montant d'acquisition, auquel sont retranchés les frais afférents à la commission de la galerie, les taxes et les frais de Matis.
(4) — Données actualisées au 22 juillet 2025. TRI : Le taux de rentabilité interne prend en compte les flux de trésorerie générés par un investissement sur une période d'un an, ainsi que la valeur de revente finale de cet investissement. Le TRI mesure la rentabilité réelle d'un investissement en prenant en compte le temps et les montants investis.
(5) - Source : UBS & Art Basel Art market Report 2024
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