Marchés privés, des éclaircies à l’horizon (Natixis IM)

Analyses de marchés
private equity

Dans un contexte de ralentissement économique et de récente baisse des taux d'intérêt, les  marchés  non  cotés  offrent  des  opportunités  d'investissement  attractives.  Les   actifs privés attirent les investisseurs pour leur haut rendement, leur potentiel de  diversification des risques, et permettent de développer des solutions en faveur de la  transition. Le secteur continue de mûrir, soutenu par des évolutions réglementaires et  internationales significatives. Les investissements en actifs privés demeurent largement illiquides, avec des valorisations peu fréquentes et des reportings de performance non  standardisés. Les investisseurs doivent connaitre les risques avant tout investissement.

Infrastructures de transition énergétique : une pénétration croissante du marché

Le marché des énergies renouvelables constitue l’un des segments les plus porteurs au sein du marché des infrastructures. C'est un domaine dans lequel Mirova est bien positionnée, avec une présence et un développement au-delà des frontières de l'Europe, en Australie, en Asie et, en Afrique. La transition énergétique ne concerne pas seulement la production d'électricité à faible émission de carbone à partir de centrales éoliennes et solaires, mais englobe également les réseaux électriques, le stockage, la mobilité, l'hydrogène, les stations de recharge, etc., qui représentent autant d'opportunités d'investissement pour Mirova. Aujourd’hui, les énergies renouvelables ne sont plus une option, mais un pilier fondamental de la stratégie énergétique mondiale. Leur pénétration croissante du marché témoigne d'un changement de paradigme vers une économie durable et plus respectueuse de l'environnement. Elles profitent en effet d’un environnement favorable, alors que les acteurs économiques se dotent d’infrastructures pour diversifier leur mix énergétique ou pour accroître leur souveraineté. Bien que le marché ait connu des moments d'instabilité dus à la hausse des taux d'intérêt et à l'augmentation des coûts des matières premières, cela n’a pas altéré sa profondeur. Les retards dans les mises en chantier ont été un défi, mais la récente stabilisation des prix offre une meilleure visibilité et une rentabilité accrue. Le marché semble prêt à embrasser une nouvelle phase de croissance, pour répondre aux besoins énergétiques futurs. Un autre indicateur significatif du dynamisme du marché en 2024 est le nombre élevé d'opérations de fusions-acquisitions (M&A). Ces transactions témoignent d'une volonté des entreprises de se consolider, d'élargir leur portée géographique, et d'accéder à de nouvelles technologies ou marchés. À titre d’illustration, chez Mirova nous avons étudié 229 transactions, et engagé 500 millions d’euros sur l’année 2024.

Lire aussi : L'Europe accélère le déploiement de ses infrastructures d'énergies vertes

Des subtilités d'une région à l'autre

États-Unis

Le contexte géopolitique n’est pas sans conséquences sur le marché des infrastructures de transition énergétique. Aux États-Unis, Donald Trump est ainsi connu pour ses positions très conservatrices sur les énergies renouvelables, or le soutien du gouvernement Biden a été un catalyseur important pour le secteur. Néanmoins, nous estimons que les plans d’investissement, tels que l’IRA3, ne devraient pas disparaître avec l’administration Trump, d’autant que de nombreux états républicains en bénéficient. En revanche, le contexte pourrait devenir plus difficile pour le secteur de l’éolien offshore, auquel le nouveau Président est hostile. Un retour vers les énergies fossiles pourrait également entraîner des répercussions sur le prix du gaz américain, sans que cela ne se ressente forcément en Union européenne. Une guerre commerciale avec la Chine aurait des conséquences sur les prix des composants utilisés dans le secteur, ainsi que sur ceux des panneaux solaires, largement exportés.

Asie et Océanie

Nous poursuivons notre politique d’investissement active en Australie, qui accélère sa sortie du charbon. Le marché est également dynamique en Inde et en Asie du Sud-Est, avec des volumes importants. Néanmoins, il y est très compétitif, de nombreuses banques locales prêtant dans des devises locales.

Afrique

L'Afrique connaît la croissance démographique la plus rapide au monde, et sa population devrait doubler d'ici 2050, dépassant ainsi les deux milliards d'habitants4. Pour satisfaire ces besoins, il sera crucial de disposer de sources d'énergie à la fois rentables et durables, tant pour le développement socioéconomique du continent que pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. À cet égard, le financement mixte (ou blended finance5) va continuer de jouer un rôle clé : du point de vue de l'investisseur, il offre des opportunités de rendement tout en réduisant les risques grâce à l'appui public, tandis que du point de vue de l'impact, il permet de canaliser des ressources vers des projets essentiels dans les pays émergents, favorisant ainsi le développement durable et la résilience économique.

Une large vériété d'actifs

Le marché de la mobilité électrique

La fin de la mobilité thermique est une tendance de fond, marquée par les grandes échéances de 2035 et de 2050. Cette transition ne se fait pas sans défis pour le secteur, car cela nécessite de la part des constructeurs une transformation de toute leur chaîne de production, ainsi qu’une phase de baisse de leurs ventes de véhicules. Cela entraîne donc de nombreux débats au sein de l’écosystème automobile - et politique d’ailleurs -, sans remise en cause néanmoins de cette évolution majeure à moyen et long terme. Le secteur a en revanche subi la fin des aides publiques, ce qui ralentit la pénétration des véhicules électriques ainsi que des infrastructures qui y sont associées, comme les bornes de recharge.

L’hydrogène vert

L'hydrogène vert est une forme d'hydrogène produite à partir de sources d'énergies renouvelables, sans émissions de dioxyde de carbone (CO2 ) dans le processus de production, et joue donc un rôle clé dans pour la décarbonation de l'économie. Bien que les projets d'hydrogène vert aient pris du retard, la récente hausse des prix de l'électricité offre une nouvelle perspective de rentabilité. Cette dynamique favorable pourrait encourager un regain d'intérêt et d'investissement dans l'hydrogène vert. En profitant des nouvelles technologies et de modèles commerciaux innovants, l'hydrogène vert a le potentiel de devenir un acteur clé dans le paysage énergétique durable de demain, et nous sommes optimistes sur notre capacité à mener des transactions dans ce secteur en 2025 et prendre ainsi des positions sur cette tendance de long terme.

Le « corporate infra », la tendance qui monte

Le contexte de hausse des taux que nous avons connu jusqu'à l'été 2024 a changé en profondeur le financement des projets énergétiques. Les acteurs du secteur ont eu plus de mal à trouver des relais de financement et ont dû modifier leurs pratiques. Face à la difficulté à financer des projets individuels, ils lèvent désormais de la dette au niveau de la holding, ce qui ouvre des opportunités de financement corporate dans les infrastructures. Ce modèle séduit les investisseurs et s’impose comme une nouvelle tendance solide, d’autant plus intéressante qu’elle permet de profiter du rendement global de la société. Le financement des infrastructures énergétiques repose donc toujours sur des thèmes de long terme, ce qui n’empêche pas l’émergence de tendances spécifiques, et donc d’opportunités d’investissement.

Private Equity : entre prudence et résilience

Avec la récente détente des taux directeurs, les financements sont revenus mais les valorisations peinent toujours à s’ajuster. Ces dernières années, les investisseurs sont entrés sur le marché du Private Equity sur des niveaux de multiples relativement élevés. Des niveaux qui ont pu être remis en question depuis 2022, avec des valorisations plus faibles, dans un contexte de croissance atone en Union européenne, de manque de liquidité et de niveaux de taux structurellement plus élevés. Sans surprise, de nombreux investisseurs ont donc préféré adopter une posture attentiste pendant l’essentiel de 2024. Peu d’opérations ont eu lieu et faire coïncider les prix des vendeurs et des acheteurs fut une tache parfois complexe. Le contexte s’est modifié au troisième trimestre, avec une légère reprise de l’activité, qui s’est accompagnée d’un rebond des multiples EV/EBITDA6 observés dans les transactions.

En 3 ans, l’Argos Index7 est passé de 11,6X l’EBITDA à 8,9X l’EBITDA. Au 3e trimestre 2024, l'Argos Index est remonté à 9,5X, une progression qui s’est observée aussi bien sur le lower que le upper mid-market8.

Un intérêt croissant des investisseurs particuliers Au premier semestre 2024, les investisseurs particuliers représentaient 20 % des levées de fonds en France9. Le Private Equity continue en effet à présenter un fort potentiel de développement auprès des investisseurs particuliers, qui n’allouent aujourd’hui que 5 % de leur épargne dans le non coté, notamment grâce à des tickets d’entrée minimum plus faibles, grâce à l’émergence de plateformes en ligne, et encouragé par des réglementations plus favorables (ELTIF210 et loi industrie verte).  De manière plus structurelle, les entreprises non cotées représentent plus de 90 % des entreprises et plus de 50 % de l’emploi dans le monde11. Investir en Private Equity permet de s’exposer à ce pan majeur de l’économie, créateur d’emplois localement, à travers des fonds qui offrent une volatilité inférieure à celle des marchés cotés et une corrélation limitée. Le positionnement de Mirova dans ce marché En tant qu’actionnaire, dans ce contexte de renchérissement structurel de la valeur de l’argent, nous avons été très vigilants quant aux allocations de ressources des entreprises, à leur cash burn12, et avons privilégié les stratégies de rigueur.

Nous sommes globalement attentifs à l’excellence opérationnelle, a fortiori dans ce contexte contraint, notamment dans nos participations ayant une dimension industrielle durant les phases de scale-up13 qui demandent un suivi très fin.   Etant essentiellement des actionnaires minoritaires, avec toujours au moins un siège au conseil d’administration (ou organe de gouvernance similaire), nous travaillons de manière participiale avec le management et nos co-investisseurs, afin d’accompagner les entreprises de nos portefeuilles dans le développement de leur activité industrielle / technologique et commerciale, mais aussi dans le renforcement de leurs dispositifs financiers, RH, impact et ESG.

Voir aussi : Environnement de taux : quelles opportunités pour le non coté ?

Lire aussi : Private Equity : risque et liquidité, deux notions essentielles

2025 : vers un nouveau souffle ?

Après plusieurs mois d’attentisme et avec l’accumulation d’actifs en attente de cession, le nouveau cycle de baisse des taux devrait faciliter les cessions et les nouveaux investissements en 2025. Parmi les secteurs à privilégier, nous pensons que ceux exposés aux transitions majeures (environnementales, sociétales…) devraient tirer leur épingle du jeu. En effet, ces transitions nécessitent des adaptations et des innovations à tous les niveaux de la société, et offrent des perspectives de croissance robustes sur le long terme. Ainsi, le financement mondial des technologies climatiques, avec 1239 transactions et 14,6 milliards de dollars levés au cours du 3e trimestre 2024, est sur le point de dépasser le montant de 2023 selon Net Zero Insights14. La TechforGood15 a également un rôle clé à jouer dans l'accompagnement de ces changements. C’est une démarche qui vise à mettre l’impact durable au cœur de la croissance économique, grâce aux nouvelles technologies et aux outils digitaux. Elle couvre notamment les secteurs de la santé, de l’éducation, les nouveaux modes de consommation… Il s’agit de thèmes larges, ce qui, en tant qu’investisseurs, nous confère une grande agilité sectorielle, nous permettant de prendre des positions de nature différente. Par ailleurs, nous pensons qu’en 2025, les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) continueront à prendre une place croissante dans le Private Equity, les investisseurs étant de plus en plus conscients des risques liés aux questions ESG. Au-delà de l’aspect réglementaire incitatif, les premiers signes liés aux changements climatiques, incitent les entreprises à prendre l’initiative d’investir de manière plus responsable.

Voir aussi : Private Equity : Quels sont les secteurs les plus attractifs ?

Capital naturel

Une approche soutenur par les entreprises

Assurer la sécurité alimentaire et sécuriser les chaînes d’approvisionnement des grandes entreprises globales en favorisant la production d’acteurs indépendants du Sud constitue un enjeu clé. Aujourd'hui, 70 % des denrées alimentaires mondiales sont produites par 500 millions de petits exploitants essentiellement situés dans les marchés émergents16. Notre stratégie d’Utilisation Durable des Terres, permet précisément de soutenir leur résilience économique, en s’assurant qu’ils trouvent des débouchés pour leur production, notamment auprès d’acteurs internationaux. Une occasion aussi, en tant qu’investisseur, d’agir pour promouvoir des pratiques en faveur de la préservation des ressources naturelles, de la biodiversité, et du capital humain. Si cette thèse d’investissement connaît actuellement un fort attrait auprès des grandes entreprises, c’est qu’elles ont parfaitement compris que sécuriser leur chaîne d’approvisionnement, maîtriser la traçabilité de leurs produits et leur qualité, est un enjeu de survie pour leur business model à long terme. Les tensions sur certaines matières premières alimentaires, les ruptures de chaînes d’approvisionnement, les effets du changement climatique et de l’érosion des sols, ont déjà fortement affecté certains groupes, qui se sont donc lancés dans un chantier d’ampleur autour de ces transformations. Nous travaillons sur ces défis depuis une décennie et remarquons un véritable intérêt de la part des entreprises pour cette proposition de valeur, qui sont en recherche de solutions pour un approvisionnement sécurisé sur des marchés qui demeurent encore très fragmentés. Nous contribuons également à un meilleur partage de la valeur, conjuguant ainsi des bénéfices économiques, sociétaux et écologiques.

Un contexte international favorable

Les entreprises se sont donc saisies de l’enjeu stratégique de la sécurisation de leur chaîne d’approvisionnement, elles y ont aussi été poussées par des obligations réglementaires de plus en plus fortes, telles que la CSRD17, ou encore les normes comptables IFRS S1 et S2 de l’ISSB18 qui intègrent désormais des exigences de reporting sur la durabilité et le changement climatique. Plusieurs événements d’envergure internationale en 2024 ont également contribué à renforcer la prise de conscience sur les enjeux d’accès et de préservation des ressources naturelles, comme en témoignent les différentes COP, et notamment la COP 16 sur la biodiversité à Cali, Colombie, la COP 29 sur le climat à Bakou, Azerbaïdjan, la COP 16 sur la désertification à Riyadh, Arabie Saoudite. L’entrée en vigueur de certaines réglementations en faveur du climat a été retardée, comme la loi sur la déforestation importée en Union européenne. Néanmoins, la tendance de fond en faveur d’une meilleure traçabilité et d’une plus grande résilience de la production et de l’approvisionnement en ressources naturelles, notamment alimentaires, est bel et bien là. Il s’agit d’une thématique stratégique pour les entreprises, qui dépasse les considérations ESG, pour toucher à leur résilience dans les années à venir. Du côté des investisseurs également, les enjeux sont compris, tout comme le potentiel de création de valeur. Ils apprécient les bénéfices partagés de notre stratégie d’Utilisation Durable des Terres, qui bénéficie aussi bien aux producteurs qu’aux groupes cotés. La structuration de ces filières de production correspond à l’émergence d’une nouvelle classe d’actifs, les infrastructures agroécologiques, qui présentent des similitudes avec les infrastructures traditionnelles, du fait d’actifs physiques et tangibles, soutenant des services essentiels, nécessitant des investissements de long terme permettant en retour une prévisibilité des revenus et des flux de trésorerie associés, faiblement corrélés avec les marchés traditionnels. Preuve de sa pertinence,, elle attire à la fois des capitaux publics et privés, dans des opérations de blended finance qui agissent comme un levier dans la transformation vertueuse des chaînes de valeur.

Profiter de la structuration des solutions de séquestration carbone fondées sur la nature

À horizon 2030, les solutions carbone fondées sur la nature représentent 30 % du potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre mondiales, principalement via la conservation et la restauration de forêts ou de mangroves19. Là encore, les acteurs corporate se sont emparés du sujet de la décarbonation et y travaillent sous différentes dimensions : Réduire leur empreinte carbone sur leur chaîne de valeur Contribuer, en parallèle, à la décarbonation en dehors de leur chaîne de valeur via des solutions fondées sur la nature Ce deuxième axe est plus récent. Les corporates démontrent leur intention de se saisir du sujet, même si des débats demeurent quant à l’intégrité des crédits carbone volontaires. Le renforcement des méthodologies et des approches en termes d’investissement comme de « claim » des corporates, initié en 2023, se poursuit et renforce la structure de ces marchés. La COP 29 a aussi permis de donner une dimension opérationnelle à l’article 6.4 de l’Accord de Paris. L’objectif est de rapprocher les mécanismes carbone entre les États et les marchés volontaires, marquant ainsi le renforcement des positions des États sur cet enjeu. Cela confirme la poursuite d’une structuration qui s’opère de manière plus homogène et concertée entre les entreprises, les institutionnels et les pouvoirs publics. Ces avancées renforcent notre confiance dans l’avenir des projets de décarbonation fondés sur la nature. Le marché se structure aussi à l’actif. Le marché des naturebased solutions, c’est-à-dire des projets de restauration et conservation d’espaces naturels comme les forêts ou les mangroves, est en train de mûrir. Nous constatons l’émergence de développeurs de projets de qualité et agissant à grande échelle. Nous investissons à grande échelle dans les zones tropicales, notamment les bassins de l’Amazonie, du Sud-Est asiatique, ou encore en Afrique sub-saharienne.

Par Natixis IM, Voir l'article original

Les données mentionnées reflètent l'opinion / la situation de Mirova à la date de ce document et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis.

3. Inflation Réduction Act : Loi américaine adoptée en août 2022, visant à lutter contre l'inflation, à favoriser la transition énergétique et à promouvoir des initiatives de santé. 4. Source : “Green energy in Africa presents significant investment opportunities”, McKinsey, 2023. 5. Voir encart sur la Blended Finance en page 8. 6. Le ratio EV/EBITDA est une mesure de valorisation qui mesure la valeur totale de l'entreprise par rapport à ses bénéfices. EBITDA : Bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement. 7. L’Argos Index® mid-market mesure l’évolution de la valorisation des PME non cotées de la zone euro. Cet indice a été lancé fin 2006 par Argos Wityu et Epsilon Research, plateforme en ligne pour la gestion des opérations de fusions-acquisitions non cotées. Publié chaque trimestre, il recense les acquisitions des sociétés du secteur mid-market au cours des trois derniers mois. 8. Source : Argos. 9. Source : France Invest 2024. 10. L'ELTIF2 (European Long-Term Investment Fund 2) désigne un cadre réglementaire révisé au sein de l'Union européenne, visant à promouvoir les investissements à long terme dans des actifs non cotés. 11. Source : https://www.worldbank.org/en/topic/smefinance 12. Le cash burn désigne le rythme auquel une entreprise consomme ses liquidités pour financer ses opérations, en particulier lorsqu'elle ne génère pas encore de bénéfices, et sert d'indicateur clé de sa viabilité et de ses besoins en financement. 13. Processus par lequel une entreprise en phase de croissance augmente significativement sa capacité opérationnelle et sa production pour répondre à une demande accrue. 14. Source : https://netzeroinsights.com/state-of-climate-tech-q3-2024/ 15. La TechForGood fait référence aux différents acteurs qui œuvrent pour régler des problématiques sociétales et qui se servent de l’innovation technologique pour le bien commun. 16. Source : What Future For Small-Scale Agriculture? Foresight4Food, 2020. 17. Corporate Sustainability Reporting Directive. 18. International Sustainability Standards Board. 19. Source : Union Internationale pour la conservation de la nature (https://iucn.org/fr)

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