PEA et compte-titres : Eres élargit son offre d’épargne à destination des CGP
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En plus de ses activités sur la retraite, l’assurance-vie et l’épargne salariale, Eres Group ouvre une nouvelle voie avec le lancement d’un compte-titres et d’un PEA. Une offre digitale et innovante, portés par une plateforme 100 % digitale en partenariat avec Shares. Avec Mathieu Chauvin, Président d’Eres et Bruno Lourenço, Directeur Commercial d’Eres.
Pourquoi Eres étend son offre aux compte-titres et aux PEA ?
Mathieu Chauvin : Alors effectivement, nous, Eres, sommes un acteur de l'entreprise depuis toujours. Cela fait 20 ans que nous opérons pour accompagner nos partenaires CGP, CIF, sur ces sujets de l’épargne salariale. Il nous a semblé évident que, pour continuer d’apporter une solution complète aux chefs d’entreprise, la gestion de sa trésorerie, de sa holding ou de son entreprise commerciale était un point important pour le CGP. Et donc, nous lui apportons une offre compte-titres pour les personnes morales, en complément de l’offre d’épargne salariale que nous avions l’habitude de commercialiser jusqu’alors. Et bien évidemment, une fois que nous avions fait ce mouvement-là, faire la même chose pour décliner un produit pour les personnes physiques cette fois-ci, donc sous forme de compte-titres ordinaires ou sous forme de PEA, de PEA-PME ou de PEA jeunes, c’était la continuité naturelle pour compléter notre offre, comme vous l’avez dit, qui est désormais très complète pour apporter des solutions d’épargne, qu’il s’agisse de contrats d’assurance-vie, d’immobilier, de PER ou de compte-titres, cette fois-ci, et de PEA. Cela nous apporte une solution vraiment très complète sur ce marché et nous croyons sincèrement au principe que le compte-titres, demain, est la future enveloppe dans laquelle nous allons pouvoir réaliser de l’épargne.
Bruno Lourenço : Je dirais aussi que, dans le cadre de l’approche globale du CGP, le PEA est aussi un outil indispensable. Vous l’avez évoqué, notamment au travers de la flat tax. Le PEA, le compte-titres, nous sommes sur, historiquement, un marché peu pénétré par les CGP, à peine 9 %. Donc il y a un marché. Le PEA, c’est un marché de 120 Mds d’encours, comme sur le PER aujourd’hui. Nous venons permettre d’aller chercher, pour le CGP, un terrain de jeu qui était historiquement détenu par les banquiers avec des solutions innovantes. Souvent, le client est laissé un peu tout seul via ses arbitrages, donc nous allons aussi pouvoir apporter du conseil avec le CGP.
Peut-on en savoir davantage sur ce produit, ses caractéristiques ?
BL : Nous venons démocratiser cet outil, ces deux enveloppes. Donc, le compte-titres : nous aurons plus de 2 000 supports, des FCPR, des ETF bien sûr, des OPCVM, des titres. Un des marqueurs de l’offre sera de pouvoir référencer ces fonds. Nous allons aussi pouvoir référencer des structurés avec un seuil très accessible pour le CGP. Côté PEA, nous aurons 200 supports environ. Donc, c’est une offre que nous allons faire croître, que nous allons faire évoluer. Nous avons la casquette gestion, donc avec nos gérants et la gestion, nous allons pouvoir aussi créer de nouveaux fonds, de nouvelles gammes de fonds. Et nous pourrons aussi, pour des réseaux importants, cibler quelques fonds que nous pourrons adresser de façon personnalisée, et accessibles à partir de 50 €. Donc, nous venons rendre cette enveloppe détenable par le client final.
Comment allez-vous vous différencier et à qui cela s’adresse-t-il précisément ?
BL : Cela s’adresse au CGP qui a envie d’adopter une approche globale. Nous l’avons vu, peu de CGP traitent cette partie-là. Quatre axes de différenciation : le premier, l’innovation, avec les fonds Eres Gestion, l’expertise de nos gérants. Nous avons aussi l’expertise du transfert chez Eres. Cela fait de nombreuses années que nous avons tout digitalisé, notamment cette expertise que nous avions sur le PERP, à l’origine, sur le PER aujourd’hui. Nous avons aussi la qualité du back-office. Ce sont les équipes Eres qui vont aussi superviser tout cela. Et enfin, l’accompagnement tout-terrain pour permettre aussi cette formation au plus près du CGP.
Partenariat avec Shares : ambitions et grands objectifs
MC : L’ambition première, pour nous, quand nous avons construit cette offre, était de nous appuyer sur un acteur spécialiste, complètement digitalisé, et c’est le cas d’une boîte de tech comme Shares. Ils sont assez agiles. Ils nous offrent une expérience totalement digitalisée pour le Conseiller en Gestion de Patrimoine dans son acte de conseil et de souscription de l’enveloppe, et une expérience aussi digitale, bien évidemment, pour son client. Et tout cela se fait de manière hyper fluide et simple dans nos interfaces. Et donc, nous avons encapsulé, finalement, cette solution au sein de l’univers Eres, qui est déjà, lui, très digitalisé également.
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