Revenus fonciers : bien choisir son régime fiscal

Fiscalité Immobilière
Revenus fonciers : bien choisir son régime fiscal

Capital


Le prélèvement à la source des impôts fonciers, via un système particulier d’acomptes automatiques, ne change strictement rien à l’affaire : au printemps de chaque année, vous devez déclarer vos recettes définitives à l’administration fiscale, qui procède aux régularisations qui s’imposent dans les mois qui suivent.


Par défaut, les loyers sont soumis au régime fiscal dit «microfoncier», mais il est possible d’opter sur sa déclaration pour le régime réel, certes plus complexe à mettre en place, mais beaucoup plus avantageux si vous supportez de lourdes charges, et notamment en cas de gros travaux réalisés.

Recettes locatives


N’omettez pas les arriérés de loyers perçus et les indemnités d’assurance. Exception faite des loyers issus de biens meublés, déclarables dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), toutes les recettes locatives encaissées au cours de l’année passée, qu’elles soient issues de logements vides, de parkings, de SCPI, de murs de bureaux ou de commerces, sont à déclarer dans la classique catégorie des revenus fonciers. Il s’agit bien sûr des loyers nets, déduction faite des charges.

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