Baltis dévoile sa vision du marché du crowdfunding immobilier en France

Finançant 63 projets et collectant 32 millions d'euros, elle a surpassé le marché avec un rendement annuel prévisionnel moyen de 10,7%*. Dotée de bases solides et d'un track record robuste, Baltis a initié le déploiement de nouvelles solutions d'investissement.
 
En dépit d'un ralentissement du marché du crowdfunding immobilier en France en 2023, avec une collecte de 1,16 milliard d'euros par rapport à 1,61 milliard d'euros en 2022 (-11,5%), Baltis a su maintenir sa croissance. Le marché a été impacté par une hausse des taux, rendant l'accès au crédit difficile et augmentant la dette des entreprises du bâtiment. Cependant, Baltis a renforcé ses garanties pour couvrir au maximum les risques associés.
La durée moyenne d'investissement est passée à 22,1 mois en 2023, avec un rendement moyen brut en progression à 10,3%, soulignant l'attrait de cette classe d'actifs. En novembre, la réglementation européenne PSFP est entrée en vigueur, et Baltis, parmi les 45 plateformes françaises, l'a obtenue.
 
Baltis élargit son offre en investissant dans l'immobilier fractionné et le financement des énergies renouvelables. Elle lancera bientôt une opération dans l'immobilier fractionné à Lille, offrant des coupons mensuels adossés aux loyers du locataire. La fusion avec Proximea, une plateforme régionale de crowdfunding acquise en 2022, est en cours pour renforcer la cohérence et la simplicité pour les souscripteurs, capitalisant sur la marque Baltis et diversifiant ses domaines d'investissement vers la santé et l'innovation maritime d'ici l'été.
 
« 2024 sera marquée par l’ouverture de plusieurs chantiers d’envergure pour Baltis, avec l’objectif de proposer de nouvelles solutions de diversification à nos investisseurs, toujours en lien avec nos convictions communes et partagées avec le Groupe Magellim. Pour relever ces défis tout en conservant notre agilité, nous allons continuer de renforcer nos équipes. Nous aspirons à redessiner l’immobilier des territoires, mais aussi à contribuer activement au financement de la transition énergétique, l’un des grands enjeux de cette décennie », commente Alexandre Toussaint.

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